en Vrac…

André BRULE

André BRULE, né le 4 février 1922 à Billancelles, fait ses début dans le cyclisme professionnel en 1944.

André BRULE
André BRULE ci-dessus devant Bartali
et ci-dessous  réparant après une chute
André BRULE

Il termine à la 12ème place au classement général de la 35éme édition du tour de France 1948 sous le dossard 101, il est dans la même équipe que Robert CHAPATTE.

André BRULE

(André BRULE en 3° position derrière Louison Bobet)

Dans la grande boucle 1950, il se contentera de la 14éme place.

 

André BRULEAndré BRULE

Il sera vainqueur du Tour du Maroc en 1946 et en 1949.
Il s’essait au cyclocross dont il est vice champion de France en 1959 après une 5° place obtenue au championnat du monde de la discipline en 1958.

Facétieux : il arrivait à André Brulé de s’échapper du peloton, de se cacher, puis de se lancer à la poursuite de ses poursuivants et, les ayant rejoints, de leur demander : « après qui vous courrez à si vive allure ? »

   Nous avons appris son décès survenu le 3 mars 2015 à l’hôpital Antoine-Béclère de Clamart.



Danielle Saison

Malgré la légendaire modestie de l’intéressée, nous nous faisons l’écho de l’hommage qui est rendu à une Billancelloise.

Le Rotary Club Chartres Deux-Vallées salue Danielle Saison

Jean-Marc Bonnet, maire de Billancelles, Elyès, Danielle Saison, Dany Bonnet, chargée du prix “Servir”, et Guy Nguyen, président du Rotary Club Chartres Deux-Vallées

C’est le président du Rotary Club Chartres Deux-Vallées, Guy Nguyen, qui a remis, jeudi soir, au Grand Monarque, le prix « Servir 2017 » de son club service à Danielle Saison, habitante de Billancelles, en présence du maire du village, Jean-Marc Bonnet, pour les services rendus aux autres depuis trente ans.

« Ce prix a été institué pour valoriser et récompenser des actes de courage ou de dévouement notoires et pour distinguer les personnes qui se mettent au service des autres en s’oubliant parfois », a déclaré Guy Nguyen.

La récipiendaire, Danielle Saison, a accueilli, ces trente dernières années, 205 personnes, en tant que famille d’accueil pour enfants en situation de rupture, de faiblesse ou d’abandon confiés par la mairie et la Caf de Paris, le Centre Diderot pour les toxicomanes ou encore par le centre André-Beulet pour sourds et muets.

Malgré cela, Danielle Saison était étonnée qu’on pense à elle pour ce prix, trouvant tout ce qu’elle faisait « normal ». Aujourd’hui, elle garde toujours Elyès, qui lui a été confié le 11 août 1991, à l’âge de 16 mois, qui habite chez elle. Le seul regret de Danielle Saison : qu’elle ne puisse l’adopter.

Publié dans l’ « ECHO Républicain » le 25/02/2017 par Basem Shalabi